Bien-être animal
Les animaux ressentent la souffrance et la joie comme les humains. Leur bien-être doit être un enjeu moral de notre époque.
Le champs de la science qui se préoccupe de la morale s'appelle la Philosophie Morale. On y distingue deux approches : le conséquentialisme et le déontologisme.
Pour le conséquentialisme, l'objectif de la moral est de maximiser le bonheur, de manière générale, et de minimiser la souffrance. Dans cette perspective, vu que les animaux ressentent la douleur, la prise en considération de leur bien-être doit être une priorité.
Pour le déontologisme, l'idée de morale implique la liberté d'agir. Je ne peux faire le bien ou le mal que si je choisis d'agir de telle ou telle manière. Par excellence, ce sont les humains qui disposent de ce libre-arbitre, et ce sont donc les humains qui sont responsables d'agir bien, ou mal.
En tant qu'humain, agissons pour le bien-être animal !
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Suivi pensé pour l'animal (et non l'humain)
Juridiquement, les animaux sont considérés comme la propriété de leurs maîtres qui en sont responsables aux yeux de la loi. Cette vision de l'animal met l'accent sur l'humain avant tout.
Au travers d'Anico, nous valorisons un autre modèle qui consiste à mettre l'accent sur l'animal, tout au long de sa vie, quels que soient les humains avec lesquels il entretient des relations. Nous pensons que cette approche permet simultanément une meilleure prise en charge médicale (constitution d'un dossier médical unique tout au long de la vie) mais aussi un meilleur épanouissement social (garder des liens avec la fratrie).
Banalisation de l'éducation non-violente
Les animaux domestiques ont toujours fait l'objet d'un dressage. Historiquement, ce dressage a pour but de donner une fonction humainement productive à l'animal.
Aujourd'hui, les animaux de travail ont majoritairement été remplacé par des machines (ex. cheval de labour par le tracteur) et le rapport à l'animal se réfléchit en terme d'éducation. L'idée est simple, un animal aux besoins satisfaits est moins dangereux pour l'homme qu'un animal dressé pour servir. Parallèlement, ce même animal, sera amené à vivre une vie plus épanouie et à nouer avec les humains des liens plus forts.
L'éducation animale suit la même voix que l'éducation humaine. Il est aujourd'hui acquis que la priorité est la construction d'un cadre robuste et la valorisation d'actions positives (accentuer ce qu'il faut faire, plutôt que ce qu'il ne faut pas faire). C'est l'éducation positive.
Anico a pour ambition de banaliser et valoriser cette manière de vivre avec les animaux.
Valorisation du matériel d'éducation actuel
Le marché des animaux de compagnie peut être particulièrement rentable. De nombreux acteurs l'ont compris et parmi eux certains sont peu scrupuleux du bien-être de nos compagnons.
Certains n'hésitent pas à vendre des objets clairement identifiés comme maltraitants et contre-productifs d'un point de vue éducatif, comme les colliers étrangleurs, tandis que d'autres refusent de s'actualiser et continuent, par exemple, de faire la promotion des laisses à dérouleurs, alors même qu'il est bien connu que ces dernières empêchent l'animal de percevoir les distances et rendent très difficile la pratique de la promenade sans laisse par la suite.
Anico propose de mettre en valeur des accessoires animaliers cohérents avec ses ambitions de bien-être animal et d'éducation positive.
Mettre en avant l'adoption et le sauvetage
Enfin, le cœur de la prise en charge des animaux de compagnie est l'adoption de ceux qui sont abandonnés tous les ans.
Au moins 45 000 animaux sont abandonnés tous les ans en France.
Anico s'engage pour la valorisation des animaux disponibles à l'adoption en se dotant d'un modèle susceptible de lui donner la possibilité de tenir tête aux organisations pour qui la vente d'animaux est avant tout un commerce juteux.